Tous les bravos du monde
N’ont pas pu secourir
Maria la Magnifique
Qui s’est laisse mourrir
J’avoue que certains soirs quand la foule applaudit
C’est a elle que je pense a qui je dis ‘merci’
Il faut avoir gravi les sommets de silence
Pour sentir la douleur de sa desesperance
Et pour avoir chante jusqu’au bout de mon ame
Je me suis reconnu a travers cette femme
Tous les bravos du monde
N’ont pas pu secourir
Maria la Magnifique